- y compris l'impact pro forma des montants de la comptabilité de couverture : EUR 3,0 milliards[2] contre EUR 3,4 milliards selon les FAP
- hors impact des montants de la comptabilité de couverture : EUR 2,4 milliards[3]
Gilbert Mittler, CFO de Fortis, commente :
« Fortis publie aujourd'hui ses résultats 2004 retraités selon les nouvelles normes comptables IFRS. Comme nous l'avons déjà expliqué en janvier, Fortis a décidé, très tôt dans le processus, d'appliquer entièrement les IFRS à partir du 1er janvier 2004 (y compris IAS 32/39 et IFRS 4) afin de fournir à ses parties prenantes une information financière cohérente et comparable.
Indépendamment du traitement comptable, Fortis a toujours appliqué des stratégies de couverture, faisant appel à des dérivés, afin de modérer le risque de taux d'intérêts de certaines de ses activités commerciales et financières.
Le résultat économique de la stratégie de réduction des risques sera entièrement comptabilisé dans les comptes 2005 en IFRS mais n'est pas visible dans les comptes 2004 en IFRS car les normes définitives, publiées au quatrième trimestre 2004 seulement, ne prévoient pas la possibilité d'appliquer rétrospectivement la comptabilité de couverture.
Pour cette raison, Fortis publie également le bénéfice net 2004 pro forma, comme si les stratégies de couverture existantes étaient comptabilisées à partir du 1er janvier 2004. A partir de 2005, nous appliquons une comptabilité de couverture pour traduire la réalité économique sous-jacente et, par conséquent, réduire substantiellement la volatilité comptable. »
[1] FAP conformément aux exigences légales et réglementaires en Belgique.
[2] Pro forma, y compris la comptabilisation des mutations de la juste valeur des éléments couverts.
[3] En excluant l'impact de la comptabilité de couverture, Fortis ne rend compte que des mutations de la juste valeur des dérivés de couverture et non des mutations de la juste valeur des éléments couverts, ce qui ne reflète pas correctement la réalité économique de ses résultats comptables et ne présente pas une juste vision du profil de risque de Fortis.