TORONTO, ONTARIO--(Marketwired - 12 déc. 2013) - Le taux d'inoccupation moyen des appartements locatifs¹ dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de London se situait à 3,3 % en octobre 2013, en baisse par rapport à celui de 3,9 % enregistré en octobre 2012. C'est ce que révèlent les résultats de l'Enquête sur les logements locatifs (ELL) de l'automne diffusés aujourd'hui par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL).

« L'immigration interne et les niveaux d'emploi chez les 15-24 ans, l'immigration, la demande émanant des étudiants et la faible croissance du revenu (qui a incité certains ménages à reporter l'achat d'un logement) sont tous des facteurs qui ont alimenté la progression de la demande sur le marché locatif de la RMR de London », a déclaré Alexander Bonnyman, analyste principal de marché à la SCHL pour la région de London.

Dans les immeubles faisant partie de l'univers qu'ont en commun les enquêtes de 2012 et de 2013², le loyer moyen des logements de deux chambres a augmenté de 1,6 % dans la RMR de London pour atteindre 924 $ en 2013.

Par rapport à son niveau d'octobre 2012, le taux d'inoccupation des appartements a régressé dans la plupart des zones de London. Il a toutefois augmenté dans la zone Nord. Dans la ville de London proprement dite (zones 1-8), il s'est établi à 3,4 % en octobre dernier; il s'était fixé à 4,0 % au même mois en 2012.

Pour consulter les données sur le marché locatif, en français ou en anglais, veuillez cliquer sur le lien suivant : Rapports sur le marché locatif - RMR.

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¹ L'Enquête sur les logements locatifs porte sur les immeubles d'initiative privée comptant au moins trois logements locatifs.

² Comparer, d'année en année, les loyers moyens des logements neufs et existants confondus peut mener à des conclusions légèrement trompeuses, car les unités neuves ont tendance à se louer plus cher que celles de construction moins récente. En excluant les immeubles neufs pour ne garder que les immeubles existants qu'ont en commun les univers des enquêtes d'octobre 2012 et d'octobre 2013, il est possible de se faire une meilleure idée de l'augmentation réelle qu'ont subie les locataires.

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