TORONTO, ONTARIO--(Marketwired - 12 déc. 2013) - Le taux d'inoccupation moyen des appartements locatifs(1) dans les centres urbains(2) de l'Ontario se situait à 2,6 % en octobre 2013, un taux presque inchangé(3) par rapport à celui de 2,5 % enregistré en octobre 2012. C'est ce que révèlent les résultats de l'Enquête sur les logements locatifs de l'automne diffusés aujourd'hui par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL).

« La forte demande chez les ménages de jeunes adultes et la diminution du nombre de ménages locataires ayant accédé à la propriété ont favorisé la demande de logements locatifs dans la province cet automne. Par ailleurs, le recul de la migration vers l'Ontario et la hausse des achèvements de copropriétés locatives en concurrence avec les unités locatives existantes ont exercé des pressions à la hausse sur le taux d'inoccupation. L'incidence nette de ces facteurs sur le marché locatif à l'automne 2013 a été négligeable », a affirmé Ted Tsiakopoulos, économiste régional à la SCHL pour l'Ontario.

Dans les immeubles faisant partie de l'univers qu'ont en commun les enquêtes de 2012 et de 2013(4), le loyer moyen des logements de deux chambres a augmenté de 2,7 % en Ontario. Bien que le prix des loyers de l'échantillon fixe ait augmenté légèrement plus vite que le taux permis par la province et l'indice du coût de la vie, ce taux de croissance correspondait à la croissance enregistrée à l'automne 2012.

Le taux d'inoccupation a augmenté dans le Nord et l'Est de l'Ontario, s'est resserré dans le Sud-Ouest de la province et est demeuré stable dans le Grand Toronto. Les taux d'inoccupation les plus bas ont été enregistrés à Toronto (1,6 %) et à Guelph (1,9 %), tandis que les plus hauts taux ont été observés à Windsor (5,9 %) et à Peterborough (4,8 %).

Pour consulter les données sur le marché locatif, en français ou en anglais, veuillez cliquer sur le lien suivant : Rapport sur le marché locatif - Automne

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(1) L'Enquête sur les logements locatifs porte sur les immeubles locatifs d'initiative privée comptant au moins trois logements.

(2) Un centre urbain compte au moins 10 000 habitants.

(3) Le taux d'inoccupation enregistré cette année a peu varié sur le plan statistique par rapport à celui de l'an passé.

(4) Comparer, d'année en année, les loyers moyens des logements neufs et existants confondus peut mener à des conclusions légèrement trompeuses, car les unités neuves ont tendance à se louer plus cher que celles de construction moins récente. En excluant les immeubles neufs pour ne garder que les immeubles existants qu'ont en commun les univers des enquêtes d'octobre 2012 et d'octobre 2013, il est possible de se faire une meilleure idée de l'augmentation réelle qu'ont subie les locataires.

Données supplémentaires disponibles sur demande

(Also available in English)

Un tableau est disponible à l'adresse suivante : http://media3.marketwire.com/docs/917340f.pdf