Source: Junex Inc.

Junex inc./Etude indépendante : plus de pétrole que de gaz sur Anticosti

QUÉBEC, QUÉBEC--(Marketwired - 2 mai 2016) - Junex inc. (la « Société » ou « Junex ») (TSX CROISSANCE:JNX) est heureuse d'annoncer que la Commission géologique du Canada (« CGC »), l'éminent organisme national d'information et de recherche dans le domaine géoscientifique du Canada, qui est aussi reconnu mondialement, a récemment publié une étude où le potentiel en hydrocarbures pour le Shale du Macasty sur la totalité de l'île d'Anticosti a été évalué comme étant composé à 78 % de pétrole et hydrocarbures liquides (« pétrole ») et à 22 % de gaz naturel (« gaz »).

Les conclusions de la CGC ont d'importantes répercussions positives pour notre bloc de permis détenu à 100 % sur l'île d'Anticosti qui couvre une superficie de 233 275 acres (364 milles carrés ou 944 kilomètres carrés) dans la partie profonde du « Fairway » où nous nous sommes d'avis que les conditions commerciales idéales sont réunies dans les Shales du Macasty.

La CGC a compilé des données du Shale du Macasty à partir de sa base de données et des données plus récentes qui ont été fournies par les joueurs de l'industrie sur l'île, y compris Junex (voir http://ftp.maps.canada.ca/pub/nrcan_rncan/publications/ess_sst/297/297893/of_8019.pdf). Les conclusions de la CGC évaluant le mélange d'hydrocarbures dans les Shales du Macasty à environ 78 % de pétrole et 22 % de gaz se comparent favorablement avec le point de vue de Junex quant à la proportion plus importante de pétrole et d'hydrocarbures liquides qui constituent le potentiel d'hydrocarbures sur l'île, en particulier dans la partie du « Fairway » où se trouvent les propriétés de Junex.

M. Peter Dorrins, le Président et Chef de la direction de Junex, a déclaré : « Les données publiées dans le rapport de la CGC soutiennent notre avis technique à propos du potentiel en pétrole et hydrocarbures liquides sur nos propriétés dans le « Fairway ». Notre opinion repose sur notre vaste expérience dans la zone de pétrole et d'hydrocarbures riches en liquides dans les Shales d'Utica dans les Basses-Terres du St-Laurent, sur l'analyse détaillée des données sur Anticosti et sur la comparaison avec les autres « bassins » de shales déjà en production commerciale aux États-Unis, comme les Shales d'Utica en Ohio. Nonobstant les conclusions formulées dans l'étude de la CGC, nous sommes persuadés que la prochaine étape logique devrait être la confirmation physique des types et des volumes d'hydrocarbures dans le Macasty. Le forage et la complétion par fracturation hydraulique de trois puits horizontaux prévus par nos voisins en 2016, en cas de succès, devraient fournir une partie de cette « vérité de terrain » qui faciliterait la prise de décisions d'investissement par l'industrie et qui fourniraient des informations factuelles concrètes au gouvernement du Québec pour appuyer ses décisions futures. »

En 2011, Netherland, Sewell & Associates (« NSAI »), une firme de consultation pétrolière basée au Texas et reconnue mondialement, a établi à 12,2 milliards de barils sa meilleure estimation (P50) du pétrole en place à l'origine dans la formation géologique des Shales de Macasty située sur les cinq permis d'exploration de Junex sur l'île d'Anticosti (voir communiqué publié le 28 septembre 2011 par Junex pour plus de détails).

« Bien que la majorité des recherches récentes aient été faites sur les Shales du Macasty à Anticosti, nous ciblons également les réservoirs conventionnels plus profonds et sous-jacents du Trenton/Black River comme potentiel de pétrole sur nos permis. Nous avons identifié plus d'une vingtaine de prospects de pétrole dans les réservoirs conventionnels du Trenton/Black River sur nos propriétés qui, en cas de succès et contrairement aux Shales du Macasty, n'exigeraient pas de stimulation par fracturation hydraulique massive. Par exemple, notre découverte de pétrole conventionnel au puits Galt no 4 Horizontal en Gaspésie n'a pas été stimulé par fracturation hydraulique et, pourtant, nous avons enregistré des débits de production commerciaux de pétrole léger allant jusqu'à plus de 300 barils de pétrole par jour au cours des essais de production en 2015 » a poursuivi M. Dorrins.

Résultats du rapport de NSAI

NSAI, une firme de consultation pétrolière réputée mondialement a été mandatée par Junex pour conduire un rapport d'évaluation de ressources («le Rapport») sur le Pétrole en place à l'origine (« PEPO ») détenues par Junex dans la Formation du Macasty sur ses permis d'exploration situés sur l'Ile d'Anticosti au Québec. Pour ce faire, NSAI a utilisé son expertise dans l'analyse d'autres réservoirs fracturés et le Rapport inclut notamment une analyse pétrophysique détaillée des données de puits disponibles incluant une revue des carottes et analyses de laboratoire disponibles ainsi que des données sismiques 2D. Tous les résultats ont été préparés en accord avec l'Instruction générale relative au Règlement 51-101 sur l'information concernant les activités pétrolières et gazières au Canada.

Les réserves sont les quantités restantes estimées de pétrole, de gaz naturel et d'autres substances reliées qui sont anticipées comme étant être récupérables d'accumulations connues, à une certaine date, et qui sont qualifiées en fonction du degré de certitude associé à ces estimations.

Les réserves prouvées sont les quantités de pétrole qui peuvent être estimées être récupérables avec un haut degré de certitude. Il est possible que les quantités de réserves restantes récupérées soient supérieures aux réserves prouvées estimées.

Les réserves probables sont les réserves additionnelles dont le degré de certitude de récupération est moindre que celui des réserves prouvées. Il est possible que les quantités de réserves restantes récupérées soient supérieures aux réserves prouvées estimées.

Les ressources découvertes de Pétrole en place à l'origine sont les quantités de pétrole estimées à une date précise et contenues dans des accumulations connues avant leur production.

Les ressources éventuelles sont les quantités de pétrole estimées à une date précise qui sont potentiellement récupérables à partir d'accumulations connues mais pour lesquelles le projet n'est pas encore considéré assez mature pour un développement commercial en raison d'une ou plusieurs contingences.

Il n'y a pas de certitude à l'effet qu'il sera viable de produire commercialement aucune des ressources éventuelles, si attribuée.

Les ressources non-découvertes sont les quantités de pétrole estimées à une date précise et contenues dans des accumulations qui n'ont pas encore été découvertes.

Les ressources prometteuses de PEPO sont les quantités de pétrole estimées à une date précise qui sont potentiellement récupérables à partir d'accumulations non-découvertes. S'il y a découverte, elles seraient techniquement et économiquement viables pour récupération en menant des projets de développement futurs. Les ressources prometteuses ont une possibilité de découverte ainsi qu'une possibilité de développement. Rien ne garantit la découverte de toute partie des ressources non découvertes. En cas de découverte, rien ne garantit la viabilité commerciale de l'exploitation de toute partie de cette catégorie de ressources.

Les réserves, les ressources éventuelles et les ressources prometteuses ne devraient pas être combinées sans reconnaître les différences significatives des critères associés à leur classification. Toutefois, dans certains cas (par exemple l'étude du potentiel d'un bassin) il peut être souhaitable de référer à certains sous-ensembles du PEPO total. Pour de tels buts, le terme « ressources » devrait inclure les adjectifs de clarification «restantes » et « récupérables » appropriés. Par exemple, la somme des réserves, ressources éventuelles et prometteuses estimées implique des risques additionnels, plus spécifiquement le risque de ne pas atteindre la commercialité ainsi que les risques d'exploration, respectivement, qui sont non applicables aux estimés de réserves. Toutefois, quand les catégories de ressources sont combinées, il est important que chaque composante de la somme soit fournie et il devrait être clair que les composantes de la somme ont été ou non ajustées en fonction du risque.

Aucune évaluation quantitative des risques géologiques n'a été complétée par NSAI pour cette propriété. Les risques géologiques de ressources prometteuses abordent la probabilité de succès de découverte de pétrole. Cette analyse de risque est effectuée indépendamment des estimations des volumes de pétrole probabilistes, et ce, sans regard aux possibilités de développement. Les éléments de risque principaux du système pétrolier incluent : i. caractéristiques d'étanchéité et de piège; ii. présence et qualité du réservoir; iii. capacité, qualité et maturité de la roche-mère; et iv. l'échéancier, la migration et la préservation du pétrole en relation avec la formation de piège et l'étanchéité.

Les ressources évaluées dans le Rapport sont basées sur des estimations de volumes de réservoir et d'efficacité de récupération ainsi que par analogie des propriétés avec des caractéristiques géologiques et de réservoir similaires. Il sera nécessaire de réviser ces estimations dès que des données additionnelles seront disponibles. De plus, les estimés des ressources pourraient augmenter ou diminuer suite aux opérations futures.

À propos du projet Anticosti, aucune estimation n'a été faite quant aux coûts totaux requis pour atteindre la production commerciale. Il n'y a aucune estimation quant à l'échéancier spécifique pour l'ensemble du projet ni quant à la date de la première production commerciale. La technologie prévue serait la récupération primaire du pétrole suite à la stimulation par fracturation. Aucune opération n'est actuellement en cours sur ce projet.

La date effective du Rapport est le 1 septembre 2011.

À propos de Junex

Junex est une compagnie junior d'exploration pétrolière et gazière qui détient des droits d'exploration sur environ 5,2 millions d'acres situés dans le bassin géologique des Appalaches au Québec, incluant la propriété de Galt en Gaspésie, des permis sur l'Île d'Anticosti et des permis dans les Basse-Terre du St-Laurent. Parallèlement à ses efforts d'exploration au Québec et d'expansion à l'extérieur, la compagnie opère une division active dans les services de forage.

Mise en garde relative aux énoncés prospectifs

Certains énoncés figurant dans ce communiqué de presse peuvent être de nature prospective. Ces énoncés prospectifs sont fondés sur les meilleures estimations dont dispose Junex à ce jour et comportent un certain nombre de risques connus et inconnus, des incertitudes et d'autres facteurs qui peuvent faire en sorte que les résultats réels, le rendement ou les réalisations de Junex diffèrent de façon importante des résultats, du rendement ou des réalisations futurs, exprimés ou escomptés dans les énoncés prospectifs. Une description des risques touchant l'entreprise et les activités de Junex est présentée à la rubrique « Risques et incertitudes » aux pages 7 à 10 du rapport de gestion annuel 2014 de Junex, lequel peut être consulté sur le site Web de SEDAR à l'adresse www.sedar.com. Rien ne garantit que les évènements prévus dans l'information prospective se produiront, ou s'ils se produisent, quels seront les avantages que Junex pourra en tirer. Plus particulièrement, rien ne garantit le rendement financier futur de Junex. Junex n'assume aucunement l'obligation de mettre à jour ou de modifier ces énoncés prospectifs pour tenir compte de nouveaux renseignements ou de tout autre évènement. Le lecteur est averti de ne pas se fier indûment à ces énoncés prospectifs.

Ni la Bourse de croissance TSX ni son fournisseur de services de réglementation (au sens donné à ce terme dans les politiques de la Bourse de croissance TSX) n'acceptent quelque responsabilité que ce soit quant au caractère adéquat ou à l'exactitude du présent communiqué de presse.

Renseignements:

Junex inc.
M. Peter Dorrins
Président et Chef de la direction
418-654-9661

Junex inc.
M. Dave Pépin
Vice- président - Finances et Affaires corporatives
418-654-9661